Nous
avons sous les yeux une lettre d’un officier d’artillerie,
prisonnier à Weimar, lequel attribue la suspension du rapatriement
de nos malheureux soldats, non aux autorités allemandes, mais… au
gouvernement français.
Nous
copions textuellement la phrase suivante :
«
Je ne puis contenir mon indignation en voyant des hommes qui, pour
servir leurs injustifiables rancunes politiques, aggravent
systématiquement les souffrances des soldats français, qui endurent
depuis six mois la plus douloureuse servitude.»
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