Catherine
Chalier : La
rafale de vent qui a poussé Miguel Abensour dans le dos
« Le
philosophe (Lévinas) y décrit en effet l'âme tyrannisée comme une
âme qui ne sent même plus le commandement, car c'est une âme qui
obéit par penchant. »
Miguel
Abensour :
« L'amour
du maître remplit l'âme à tel point que l'âme ne prend plus de
distance. »
La
Boétie tirée de «Discours de la servitude volontaire » :
« Comment
se fait-il que les hommes combattent pour leur servitude comme s'il
s'agissait de leur salut ? »
« En effet si
l’État a pour origine et fonction de canaliser la violence, au nom
de quoi pourra-t-on juger sa propre violence censée assurer ordre et
sécurité ?
« Pour penser
autrement la politique, il convient de penser la métapolitique, ce
qu'on ne peut faire en partant du conatus,
de l'effort de chacun pour persévérer dans l'être. »
« Cependant,
préviennent les prophètes, cette fin ne sera ni heureuse ni
pacifique, mais très certainement consternantes et désastreuse, si
l'injustice, la haine gratuite et le mépris des sans-droits – la
veuve, l'orphelin et l'étranger – continuent comme s'ils
constituaient des dtails insignifiants dans la grande histoire. »
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