Tiré du Documentaire « Le
fascisme en couleur »
A cause d'un anti-communisme
primaire, Churchill avait une admiration pour Mussolini qui
remplissait le rôle admirable de mettre un terme à la progression
du communiste sur l'est de l'Europe.
Tirés du livre de Henri
Noguère : « Munich ou la drôle de paix »
Dans les terribles et honteuses
négociations de 1938, la de Munich, on se rend compte du double jeu
des anglais. Il y avait les opérations en commun avec les français
qui tentaient de calmer les velléités d’Hitler mais en sous main
il y avait les conciliabules entre les anglais et les nazis.
Souvenons qu'un lord anglais,
Lord Halifax, si je ne me trompe pas, avait émis le souhait de voir
Hitler rendre visite à la reine à Westminster.
Tiré du livre « L'histoire
secrète » de J.R. Tournoux
En juin 1936, grâce à
l'Angleterre, la société des Nations avait levé les sanctions sur
l'Italie fasciste après les invasions de l’Éthiopie, Érythrée
et la Libye.
« Et pourtant, nous a dit
25 ans plus tard un ancien chef cagoulard, qui sait de quoi il parle,
Dormoy avait raison je vous le dis : la République fut à 2
doigts de sa perte.
Tout était possible à ce
moment. Croyez-moi ce fut très sérieux. Si le mouvement avait été
déclenché, je suis persuadé que nous aurions pu mener notre action
victorieuse. L'occasion a été manqué par la faute de Deloncle, qui
a cherché la perfection du mécanisme. C'est mon regret permanent.
Je vous le répète, objectivement la III° république arriva au
bord du gouffre, à 2 doigts de sa perte... »
Dominique Venner :
Avant
de vous faire ce que cette personne a écrit, il faut vous présenter
le personnage afin de savoir d'où il vient.
Dominique
Venner est né à Paris le 16
avril 1935 et mort à Paris le 21 mai 2013. C'est un essayiste
français de la mouvance d'extrême droite. Il est membre de Jeune
Nation, un groupuscule formé entre autre par les frères Sidos, fils
de Pierre Sidos qui fut fusillé pour collaborationnisme. Il intègre
ensuite l'OAS (Organisation Armée Secrète).
il
fut à l'origine de la création du GRECE ( Groupement de recherche
et d'études pour la civilisation européenne).
Puis
il quitte le militantisme, pour y retourner violemment en se
suicidant devant l'autel de Notre-Dame-De-Paris pour signifier son
opposition au mariage pour tous et à la casse de la représentation
de la famille française.
Il
avait sorti un livre « Pour
une critique positive : écrit par un militant pour les
militants ». Il
fut réédité à de multiples reprises. Si je vais vous citer
quelques passages de son livre, on peut y lire une critique de la
pratique groupusculaire et il nous explique comment l'extrême droite
est en capacité de s'infiltrer partout sans que cela ne crée aucun
remous.
«A la fin de la première
guerre mondiale, la révolution communiste était une menace
immédiate pour toute l’Europe. Le danger détermine toujours un
mouvement de défense: les mouvements fascistes en profitèrent.
Seule force capable de s’opposer à la violence des rouges, le
fascisme reçut de puissants appuis et l’adhésion massive de
partisans. Aujourd’hui, le « soir du grand soir », les soviets
d’usine, les tchékas appartiennent au passé. Les communistes
d’Occident se sont embourgeoisés, ils font partie du décor, ils
sont les plus fermes défenseurs du régime.
L’homme-au-couteau-entre-les-dents n’est plus le communiste mais
l’activiste. Quant à la Russie, les capitalistes y voient un
nouveau marché. »
« Hormis quelques
catégories minoritaires menacées, la grande masse des salariés est
convaincus d’avoir plus à perdre qu’à gagner à vouloir
arracher par la violence ce que les revendications pacifiques et le
temps lui donneront inéluctablement. Le carcan des lois sociales et
le chantage au crédit font le reste pour lui retirer toute
combativité. «
«Une nouvelle élaboration
doctrinale est la seule réponse au fractionnement infini des
activistes. Il n’y a pas à revenir sur la valeur unificatrice de
l’action. Elle est évidente. Mais cette unification ne peut être
durable et utile sans unification idéologique autour d’une
doctrine juste. Le rédacteur de « France-Observateur », le
fonctionnaire de la S.F.I.O., le communiste ont en commun une même
idéologie : le marxisme. Leur référence doctrinale est donc la
même, leur conception du monde est semblable. Les mots qu’ils
emploient ont la même signification. Ils appartiennent à la même
famille. Malgré leurs divisions profondes dans l’action, ils
concourent tous à imposer la même idéologie. »
«Cinq pour cent des individus,
admettent les sociologues, sont profondément pervers, tarés,
vicieux. A l’autre extrémité, on observe une même proportion
d’hommes qui possèdent, naturellement et de façon développée,
des qualités particulières d’énergie et d’abnégation qui les
prédisposent à servir la communauté, donc à la diriger. Les
démocraties qui instaurent le règne de la combine et de l’argent
sont, en grande partie, dominées par les premiers. La révolution
Nationaliste devra éliminer les premiers et imposer les seconds. »
« L’outrance dans
l’expression, les promesse d’Apocalypse n’ont jamais fait
avancer le Nationalisme d’un pas, au contraire. L’adversaire y
trouve des arguments faciles, le peuple se détourne d’hommes qui
se présentent comme des fous dangereux, les partisans se découragent
ou se déforment à leur tour. Le révolutionnarisme caricatural,
dans les propos, les attitudes et l’action, est l’ennemi de la
révolution. Ce sont surtout les jeunes éléments qui doivent s’en
méfier. Revêtir un déguisement baptisé uniforme, confondre le
sectarisme avec l’intransigeance, afficher une violence gratuite
sont des pratiques qui relèvent de l’infantilisme. Certains y
trouvent l’exaltation d’un romantisme morbide. La révolution
n’est pas un bal costumé ni un exutoire pour mythomanes. L’action
révolutionnaire n’est pas l’occasion de surenchère au
purisme. »
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