jeudi 28 septembre 2017

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Tiré du Documentaire « Le fascisme en couleur »
A cause d'un anti-communisme primaire, Churchill avait une admiration pour Mussolini qui remplissait le rôle admirable de mettre un terme à la progression du communiste sur l'est de l'Europe.

Tirés du livre de Henri Noguère : « Munich ou la drôle de paix »

Dans les terribles et honteuses négociations de 1938, la de Munich, on se rend compte du double jeu des anglais. Il y avait les opérations en commun avec les français qui tentaient de calmer les velléités d’Hitler mais en sous main il y avait les conciliabules entre les anglais et les nazis.

Souvenons qu'un lord anglais, Lord Halifax, si je ne me trompe pas, avait émis le souhait de voir Hitler rendre visite à la reine à Westminster.

Tiré du livre « L'histoire secrète » de J.R. Tournoux

En juin 1936, grâce à l'Angleterre, la société des Nations avait levé les sanctions sur l'Italie fasciste après les invasions de l’Éthiopie, Érythrée et la Libye.

« Et pourtant, nous a dit 25 ans plus tard un ancien chef cagoulard, qui sait de quoi il parle, Dormoy avait raison je vous le dis : la République fut à 2 doigts de sa perte.
Tout était possible à ce moment. Croyez-moi ce fut très sérieux. Si le mouvement avait été déclenché, je suis persuadé que nous aurions pu mener notre action victorieuse. L'occasion a été manqué par la faute de Deloncle, qui a cherché la perfection du mécanisme. C'est mon regret permanent. Je vous le répète, objectivement la III° république arriva au bord du gouffre, à 2 doigts de sa perte... »

Dominique Venner :

Avant de vous faire ce que cette personne a écrit, il faut vous présenter le personnage afin de savoir d'où il vient.
Dominique Venner est né à Paris le 16 avril 1935 et mort à Paris le 21 mai 2013. C'est un essayiste français de la mouvance d'extrême droite. Il est membre de Jeune Nation, un groupuscule formé entre autre par les frères Sidos, fils de Pierre Sidos qui fut fusillé pour collaborationnisme. Il intègre ensuite l'OAS (Organisation Armée Secrète).
il fut à l'origine de la création du GRECE ( Groupement de recherche et d'études pour la civilisation européenne).
Puis il quitte le militantisme, pour y retourner violemment en se suicidant devant l'autel de Notre-Dame-De-Paris pour signifier son opposition au mariage pour tous et à la casse de la représentation de la famille française.

Il avait sorti un livre « Pour une critique positive : écrit par un militant pour les militants ». Il fut réédité à de multiples reprises. Si je vais vous citer quelques passages de son livre, on peut y lire une critique de la pratique groupusculaire et il nous explique comment l'extrême droite est en capacité de s'infiltrer partout sans que cela ne crée aucun remous.
«A la fin de la première guerre mondiale, la révolution communiste était une menace immédiate pour toute l’Europe. Le danger détermine toujours un mouvement de défense: les mouvements fascistes en profitèrent. Seule force capable de s’opposer à la violence des rouges, le fascisme reçut de puissants appuis et l’adhésion massive de partisans. Aujourd’hui, le « soir du grand soir », les soviets d’usine, les tchékas appartiennent au passé. Les communistes d’Occident se sont embourgeoisés, ils font partie du décor, ils sont les plus fermes défenseurs du régime. L’homme-au-couteau-entre-les-dents n’est plus le communiste mais l’activiste. Quant à la Russie, les capitalistes y voient un nouveau marché. »

«  Hormis quelques catégories minoritaires menacées, la grande masse des salariés est convaincus d’avoir plus à perdre qu’à gagner à vouloir arracher par la violence ce que les revendications pacifiques et le temps lui donneront inéluctablement. Le carcan des lois sociales et le chantage au crédit font le reste pour lui retirer toute combativité. « 

«Une nouvelle élaboration doctrinale est la seule réponse au fractionnement infini des activistes. Il n’y a pas à revenir sur la valeur unificatrice de l’action. Elle est évidente. Mais cette unification ne peut être durable et utile sans unification idéologique autour d’une doctrine juste. Le rédacteur de « France-Observateur », le fonctionnaire de la S.F.I.O., le communiste ont en commun une même idéologie : le marxisme. Leur référence doctrinale est donc la même, leur conception du monde est semblable. Les mots qu’ils emploient ont la même signification. Ils appartiennent à la même famille. Malgré leurs divisions profondes dans l’action, ils concourent tous à imposer la même idéologie. »

«Cinq pour cent des individus, admettent les sociologues, sont profondément pervers, tarés, vicieux. A l’autre extrémité, on observe une même proportion d’hommes qui possèdent, naturellement et de façon développée, des qualités particulières d’énergie et d’abnégation qui les prédisposent à servir la communauté, donc à la diriger. Les démocraties qui instaurent le règne de la combine et de l’argent sont, en grande partie, dominées par les premiers. La révolution Nationaliste devra éliminer les premiers et imposer les seconds. »



« L’outrance dans l’expression, les promesse d’Apocalypse n’ont jamais fait avancer le Nationalisme d’un pas, au contraire. L’adversaire y trouve des arguments faciles, le peuple se détourne d’hommes qui se présentent comme des fous dangereux, les partisans se découragent ou se déforment à leur tour. Le révolutionnarisme caricatural, dans les propos, les attitudes et l’action, est l’ennemi de la révolution. Ce sont surtout les jeunes éléments qui doivent s’en méfier. Revêtir un déguisement baptisé uniforme, confondre le sectarisme avec l’intransigeance, afficher une violence gratuite sont des pratiques qui relèvent de l’infantilisme. Certains y trouvent l’exaltation d’un romantisme morbide. La révolution n’est pas un bal costumé ni un exutoire pour mythomanes. L’action révolutionnaire n’est pas l’occasion de surenchère au purisme. »

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