Je viens de voir le film hommage de Denis Robert sur François Cavanna, journaliste, dessinateur, écrivain, rédacteur en chef, et j'en passe.
François Cavanna, c'est la vie qui se bouffe, c'est la vie qui sent fort. C'est la vie à plein poumon. C'est l'amour de la vie, l'amour des gens.
Mais Cavanna est contre les cons. Mais qui est con pour Cavanna? Celui qui n'est pas libre, celui qui ne pense pas par lui-même, celui qui se met tout seul des fers au pied.
Le con, c'est celui qui exclut les autres, celui qui a peur de ce qu'il connait pas, celui qui aime ce qu'on lui dit d'aimer.
Le con, c'est celui qui participe à des massacres pour une chose qui n'existe pas: Dieu, les frontières, la nation, le pays, le drapeau.
Le con, c'est celui qui tue des animaux pour le plaisir, celui qui bat sa femme parce que c'est une femme, parce qu'il n'est plus aimer.
Cavanna aimait la vie, aime la vie; même il l'aime encore et même plus fort.
Cavanna, ca a été une superbe rencontre télévisuelle. Je regardais Apostrophe de Pivot et il y avait de présent ce jour là, Patrick Cauvin qui venait nous parler de son livre "Laura Brahms" et dans, un fauteuil, tout replié qu'il en était presque petit, une moustache au dessus d'un vieux pull.
Et soudain, on lui donne la parole. Alors là, l'homme se déplie et nous parle de la vie, de l'amour, du cul et de l'amour. Du sexe et de l'odeur, des sucs et des jus..."Les yeux plus grands que le ventre".
Et voilà, du coup, je me suis pris au piège et j'ai adoré cet homme.
Les ritals
Les russkofs
Les yeux plus grands que le ventre
Maria
Les écritures
Et le singe devint con
Le con se surpasse
Bête et méchant
Les yeux du lapin
et les autres, et les autres...
Merci François.
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