« Et lorsque nous apprenons à mieux nous réjouir, c’est alors que nous désapprenons de faire du mal aux autres et d’inventer des douleurs. »
« Il est difficile de
vivre avec les hommes, puisqu’il est difficile de garder le silence. »
« Ils prennent ce que je
leur donne : mais suis-je encore en contact avec leurs âmes ? Il y a
un abîme entre donner et prendre ; et le plus petit abîme est le plus
difficile à combler.
Une faim nait de ma beauté :
je voudrais faire du mal à ceux que j’éclaire ; je voudrais dépouiller
ceux que je comble de mes présents :-c’est ainsi que j’ai soif de
méchanceté. »
« En vérité, je suis
moi-même un oiseau effrayé qui, un jour, vous a vus nus et sans couleurs ;
et je me suis enfui lorsque ce squelette m’a fait des gestes d’amour. »
« C’est pour moi l’amertume
de mes entrailles de ne pouvoir vous supporter ni nus, ni habillés, vous autres
hommes actuels ».
« Vous êtes des portes
entr’ouvertes où attendent les fossoyeurs. Et cela est votre réalité : « Tout vaut la peine de disparaitre. »
« Ayez donc tout d’abord
le courage d’avoir foi en vous-mêmes – en vous-mêmes et en vos entrailles !
Celui qui n’a pas foi en lui-même ment. »
« Cependant ceci est mon
autre sagesse humaine : le ménage les vaniteux plus que les fiers. »
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