N'oublions pas que tout ce qui est cité ci dessous, sont des propos que Hitler auraient tenus devant quelques personnes qui étaient invités à sa table. A la fin de ces repas, il prenait la parole et s'exprimait à propos de tous les sujets qui lui passait par la tête. Une personne a donc pris l'habitude de prendre en notes ce qu'il disait. Devant un parterre d'invités plus criminels les uns que les autres, silencieux, attendait que le Führer se fatigue et invite chacun à partir. Cet ouvrage, ainsi que le tome 2, ont été mis à la vente libre, alors que les propos tenus sont de la même horreur que dans Mein Kampft, ouvrage très longtemps interdit. Ce qui a permis à ces ouvrages de passer la censure, ce sont les doutes émis sur le fait que Hitler soit l'auteur de ces propos.
Encore une fois, je précise que l'antifascisme est mon combat , l'extrême droite mon ennemie mais je pense que connaitre les pensées, les visions et les arguments de ces personnes, nous aide à les combattre.
« Mais il est une chose
que je puis prédire aux mangeurs de viande, c’est que le monde futur sera
végétarien. »
« Le limon des côtes de
la mer du nord constitue le meilleur engrais qu’il soit. L’ennui, c’est que le
transport coûte cher, et puis quels sont les hommes qui iront recueillir ce
limon ? J’ai cent cinquante mille forçats qui fabriquent des chaussons de
lisière ! Himmler sera un jour notre plus grand entrepreneur.
Avec notre nouvelle
organisation économique, le centre politique de l’Europe se déplace. L’Angleterre
ne sera plus qu’une vaste Hollande. Le continent renait à la vie.
L’essentiel pour les dix
années qui viennent, est de supprimer toutes les chaires d’économie politique
dans les universités. »
« Que valent les scrupules
juridiques lorsqu’une chose s’impose dans l’intérêt de la nation ? Ce n’est
pas grâce aux juristes, mais malgré eux, que le peuple allemand vit. »
« Le beau-frère de Franco
devient ministre des affaires étrangères. Il n’est pas habituel qu’une famille
monopolise le talent. Le népotisme n’é jamais été une formule heureuse, et c’est
ainsi que l’on détruit systématiquement une œuvre cimentée par le sang d’un
peuple. »
« Surtout il ne fallait
pas que le parti se laissât envahir par les bourgeois. J’ai pris soin par l’application
de méthodes appropriées de n’y accueillir que des allemands vraiment fanatiques,
disposés à sacrifier leurs intérêts particuliers à l’intérêt général.
Les partis bourgeois
poussaient à la sottise jusqu’à prétendre que c’est toujours le plus
intelligent qui doit céder. Moi, au contraire, je n’ai jamais eu qu’un seul but :
m’imposer à tout prix, contre vents et marées. »
« Que quelques bourgeois
pleurnichent aujourd’hui sous le prétexte que les juifs doivent quitter l’Allemagne,
voilà un trait qui peint ces culs-bénits. Ont-ils pleuré quand chaque année des
centaines de milliers d’allemands, faute de trouver leur pain sur notre sol,
devaient émigrer ? Ceux-là n’avaient aucune parenté dans le monde, ils
étaient livrés à eux-mêmes, ils partaient dans l’inconnu. Rien de pareil pour
les juifs qui ont partout des oncles, des neveux, des cousins. La pitié de nos
bourgeois est en l’occurrence particulièrement déplacée. »
« Quand la Phalange
emprisonne ses adversaires, elle commet la plus grave des fautes. Mon parti à l’époque,
n’était-il pas composé dans la proportion de 90% d’éléments de gauche ? J’avais
besoin d’hommes capables de se battre. Je n’avais que faire de ces doctrinaires
apeurés qui vous susurraient dans le creux de l’oreille des plans de
subversion. Je préférais ceux qui savaient mettre la main à la pâte. »
« C’est à cette époque
que furent posées les premières fondations de notre Reich actuel. Quand je
pense aux persécutions que nous avons subies ! Journaux suspendus, réunions
interdites ou sabotées. Vue avec le recul, c’est la belle époque de notre
lutte. Mon entrée à la chancellerie marque la fin de cette vie exaltante. Jusqu’alors
9 sur 10 des hommes avec lesquels j’étais en contact appartenaient au peuple. A
partir de ce moment, neuf sur dix appartenaient au monde distingué. Ce fut un
bouleversement de toute mon existence. Je retrouve aujourd’hui ce contact avec
le peuple dans les assemblées populaires. »
« Il est probable que
beaucoup de juifs ne sont pas conscients du pouvoir de destruction qu’ils
représentent. Or celui qui détruit la vie s’expose à la mort. C’est là le
secret de ce qui arrive aux juifs. A qui la faute quand le chat dévore la
souris ? A la souris qui n’a jamais fait de mal à un chat ?
Ce rôle destructeur du juif
a-t-il une raison en quelque sorte providentielle ? Si la nature a voulu
que le juif soit le ferment qui provoque la décomposition des peuples,
fournissant ainsi à ces peuples l’occasion d’une réaction salutaire, dans ce
cas les saint Paul et les Trotski sont, de notre point de vue, les juifs les
plus estimables. Du fait de leur présence, ils provoquent la réaction de
défense de l’organisme attaqué. Dietrich Eckart m’a dit un jour qu’il avait
connu dans sa vie un seul juif bien : Otto Weininger, lequel reconnut au
suicide le jour où il s’aperçut que le juif vit de la décomposition des
peuples.
Il est remarquable que le
métis juif à la deuxième ou à la troisième génération, ait tendance à s’acoquiner
à nouveau avec des juifs à l’état pur. Mais à partir de la septième génération,
il semble que la pureté du sang aryen soit rétablie. La nature élimine à la
longue les éléments nuisibles. »
« La vie individuelle ne
doit pas être estimée à un prix trop élevé. Si l’individu avait de l’importance
aux yeux de la nature, la nature se chargerait de le préserver. Parmi les
millions d’œufs que pond une mouche, bien peu arrivent à terme – et pourtant la
race des mouches est florissante. Ce qui est important pour nous, hommes, c’est
moins la somme des connaissances acquises
que le maintien des conditions qui permettent à la science de se
renouveler constamment. »
« La catastrophe pour
nous, c’est d’être liés à une religion qui s’insurge contre toutes les joies
des sens. A ce propos, la tartuferie des protestants est pire que celle des
catholiques. Chacune des deux religions réagit là selon sa nature. Le
protestantisme a la chaleur d’un iceberg. L’église catholique, avec ses mille
ans d’expérience supplémentaire, et qui n’a pas perdu le contact avec ses
origines juives, est évidemment plus habile. Elle permet les orgies du
carnaval, d’abord parce qu’elle est impuissante à les empêcher, ensuite parce
qu’elle retrouve le pécheur dès le mercredi des cendres. En lui représentant
les souffrances de l’enfer, elle sait l’inciter à être généreux comme il se
doit. Après les périodes de pénitence, place au relâchement ! »
« Quelle bonne
inspiration d’avoir tenu la calotte à l’écart du parti. Le 21 mars 1933, à
Potsdam, la question s’est posée : avec l’église ou sans l’église ? J’ai
conquis l’état en dépit de la malédiction jetée sur nous par les deux
confessions. Ce jour-là, nous sommes allés directement aux tombeaux des rois
alors que les autres se rendaient aux services religieux. A supposer que j’eusse
à cette époque composé avec les églises, je partagerais aujourd’hui le sort du
duce. Par nature, le Duce est un esprit libre mais il a cru bon de choisir la
voie de la concession. Moi, à sa place, j’eusse choisi la voie révolutionnaire.
Je fusse entré au Vatican, j’eusse mis tout le monde à la porte – quitte à m’excuser
ensuite : « Pardonnez-moi, c’est une erreur. » Mais le
résultat, c’est qu’ils étaient vidés ! »
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