mardi 13 juillet 2021

Libres propos Tome 1 par Adolf Hitler

 N'oublions pas que tout ce qui est cité ci dessous, sont des propos que Hitler auraient tenus devant quelques personnes qui étaient invités à sa table. A la fin de ces repas, il prenait la parole et s'exprimait à propos de tous les sujets qui lui passait par la tête. Une personne a donc pris l'habitude de prendre en notes ce qu'il disait. Devant un parterre d'invités plus criminels les uns que les autres,  silencieux, attendait que le Führer se fatigue et invite chacun à partir. Cet ouvrage, ainsi que le tome 2, ont été mis à la vente libre, alors que les propos tenus sont de la même horreur que dans Mein Kampft, ouvrage très longtemps interdit. Ce qui a permis à ces ouvrages de passer la censure, ce sont les doutes émis sur le fait que Hitler soit l'auteur de ces propos. 

Encore une fois, je précise que l'antifascisme est mon combat , l'extrême droite mon ennemie mais je pense que connaitre les pensées, les visions et les arguments de ces personnes, nous aide à les combattre. 

« Mais il est une chose que je puis prédire aux mangeurs de viande, c’est que le monde futur sera végétarien. »

 

« Le limon des côtes de la mer du nord constitue le meilleur engrais qu’il soit. L’ennui, c’est que le transport coûte cher, et puis quels sont les hommes qui iront recueillir ce limon ? J’ai cent cinquante mille forçats qui fabriquent des chaussons de lisière ! Himmler sera un jour notre plus grand entrepreneur.

Avec notre nouvelle organisation économique, le centre politique de l’Europe se déplace. L’Angleterre ne sera plus qu’une vaste Hollande. Le continent renait à la vie.

L’essentiel pour les dix années qui viennent, est de supprimer toutes les chaires d’économie politique dans les universités. »

 

« Que valent les scrupules juridiques lorsqu’une chose s’impose dans l’intérêt de la nation ? Ce n’est pas grâce aux juristes, mais malgré eux, que le peuple allemand vit. »

 

« Le beau-frère de Franco devient ministre des affaires étrangères. Il n’est pas habituel qu’une famille monopolise le talent. Le népotisme n’é jamais été une formule heureuse, et c’est ainsi que l’on détruit systématiquement une œuvre cimentée par le sang d’un peuple. »

 

« Surtout il ne fallait pas que le parti se laissât envahir par les bourgeois. J’ai pris soin par l’application de méthodes appropriées de n’y accueillir que des allemands vraiment fanatiques, disposés à sacrifier leurs intérêts particuliers à l’intérêt général.

Les partis bourgeois poussaient à la sottise jusqu’à prétendre que c’est toujours le plus intelligent qui doit céder. Moi, au contraire, je n’ai jamais eu qu’un seul but : m’imposer à tout prix, contre vents et marées. »

 

« Que quelques bourgeois pleurnichent aujourd’hui sous le prétexte que les juifs doivent quitter l’Allemagne, voilà un trait qui peint ces culs-bénits. Ont-ils pleuré quand chaque année des centaines de milliers d’allemands, faute de trouver leur pain sur notre sol, devaient émigrer ? Ceux-là n’avaient aucune parenté dans le monde, ils étaient livrés à eux-mêmes, ils partaient dans l’inconnu. Rien de pareil pour les juifs qui ont partout des oncles, des neveux, des cousins. La pitié de nos bourgeois est en l’occurrence particulièrement déplacée. »

 

« Quand la Phalange emprisonne ses adversaires, elle commet la plus grave des fautes. Mon parti à l’époque, n’était-il pas composé dans la proportion de 90% d’éléments de gauche ? J’avais besoin d’hommes capables de se battre. Je n’avais que faire de ces doctrinaires apeurés qui vous susurraient dans le creux de l’oreille des plans de subversion. Je préférais ceux qui savaient mettre la main à la pâte. »

 

« C’est à cette époque que furent posées les premières fondations de notre Reich actuel. Quand je pense aux persécutions que nous avons subies ! Journaux suspendus, réunions interdites ou sabotées. Vue avec le recul, c’est la belle époque de notre lutte. Mon entrée à la chancellerie marque la fin de cette vie exaltante. Jusqu’alors 9 sur 10 des hommes avec lesquels j’étais en contact appartenaient au peuple. A partir de ce moment, neuf sur dix appartenaient au monde distingué. Ce fut un bouleversement de toute mon existence. Je retrouve aujourd’hui ce contact avec le peuple dans les assemblées populaires. »

 

« Il est probable que beaucoup de juifs ne sont pas conscients du pouvoir de destruction qu’ils représentent. Or celui qui détruit la vie s’expose à la mort. C’est là le secret de ce qui arrive aux juifs. A qui la faute quand le chat dévore la souris ? A la souris qui n’a jamais fait de mal à un chat ?

Ce rôle destructeur du juif a-t-il une raison en quelque sorte providentielle ? Si la nature a voulu que le juif soit le ferment qui provoque la décomposition des peuples, fournissant ainsi à ces peuples l’occasion d’une réaction salutaire, dans ce cas les saint Paul et les Trotski sont, de notre point de vue, les juifs les plus estimables. Du fait de leur présence, ils provoquent la réaction de défense de l’organisme attaqué. Dietrich Eckart m’a dit un jour qu’il avait connu dans sa vie un seul juif bien : Otto Weininger, lequel reconnut au suicide le jour où il s’aperçut que le juif vit de la décomposition des peuples.

Il est remarquable que le métis juif à la deuxième ou à la troisième génération, ait tendance à s’acoquiner à nouveau avec des juifs à l’état pur. Mais à partir de la septième génération, il semble que la pureté du sang aryen soit rétablie. La nature élimine à la longue les éléments nuisibles. »

 

« La vie individuelle ne doit pas être estimée à un prix trop élevé. Si l’individu avait de l’importance aux yeux de la nature, la nature se chargerait de le préserver. Parmi les millions d’œufs que pond une mouche, bien peu arrivent à terme – et pourtant la race des mouches est florissante. Ce qui est important pour nous, hommes, c’est moins la somme des connaissances acquises  que le maintien des conditions qui permettent à la science de se renouveler constamment. »

 

« La catastrophe pour nous, c’est d’être liés à une religion qui s’insurge contre toutes les joies des sens. A ce propos, la tartuferie des protestants est pire que celle des catholiques. Chacune des deux religions réagit là selon sa nature. Le protestantisme a la chaleur d’un iceberg. L’église catholique, avec ses mille ans d’expérience supplémentaire, et qui n’a pas perdu le contact avec ses origines juives, est évidemment plus habile. Elle permet les orgies du carnaval, d’abord parce qu’elle est impuissante à les empêcher, ensuite parce qu’elle retrouve le pécheur dès le mercredi des cendres. En lui représentant les souffrances de l’enfer, elle sait l’inciter à être généreux comme il se doit. Après les périodes de pénitence, place au relâchement ! »

 

« Quelle bonne inspiration d’avoir tenu la calotte à l’écart du parti. Le 21 mars 1933, à Potsdam, la question s’est posée : avec l’église ou sans l’église ? J’ai conquis l’état en dépit de la malédiction jetée sur nous par les deux confessions. Ce jour-là, nous sommes allés directement aux tombeaux des rois alors que les autres se rendaient aux services religieux. A supposer que j’eusse à cette époque composé avec les églises, je partagerais aujourd’hui le sort du duce. Par nature, le Duce est un esprit libre mais il a cru bon de choisir la voie de la concession. Moi, à sa place, j’eusse choisi la voie révolutionnaire. Je fusse entré au Vatican, j’eusse mis tout le monde à la porte – quitte à m’excuser ensuite : « Pardonnez-moi, c’est une erreur. » Mais le résultat, c’est qu’ils étaient vidés ! »

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