Nous constatons que tous ceux qui ont tenté de justifier une race, ou de la supériorité de l'une sur une autre, ont tous été absurdes ou ridiculesz. Arthur de Gobineau, dans son essai sur la supériorité des races, a tenté de justifier l'injustifiable en cherchant des comparaisons, ou des signes sur les territoires ou dans les couleurs. Une couleur plus dégénérée qu'une autre, ou le mélange de l'une avec une autre crée une race qui s'éteint.
Ces hommes qui pensent ainsi tentent d'avoir des discours "scientifiques" et les faibles d'esprits, les personnes en manque de repères, peuvent y trouver un réconfort. Penser que même si l'on est minable, par la couleur de notre peau, ou le lieu où l'on est né, ou que sais je encore fait qu'ils ne sont pas ceux qui sont les plus minables.
J'ai pour ma part le sentiment que je suis tel que je suis car je me construit ou me déconstruit dans ce que j'apprends ou qui je rencontre. Je ne suis pas le fruit d'une ligne héréditaire, je ne suis pas la continuité de la race dont je serais issu. Je suis le fruit de mon propre parcours, de mes propres choix.
Donc, lorsque nous lisons ce genre de discours, il faut rester narquois, ironique mais en gardant en tête que tout cela est dangereux. Ils me font aussi le même effet que ceux qui renient l'histoire, qui mentent pour et par leur haine....
« Autre
élément décisif : ne pas oublier les femmes sans lesquelles nous
sommes racialement condamnés. Plus intuitives et instinctives que
les hommes, elles deviennent plus ouvertes à nos prises de
conscience dès qu'elles en ont compris l'enjeu. Elles sont
d'ailleurs concernées au premier chef par la misogynie des religions
du
désert. Beaucoup sont gravement perturbées et écoeurées par les
masculinisations que leur inflige le « féminisme » sous prétexte
d'égalité. À nous de leur montrer le chemin de la restitution de
leur vraie liberté et de leur vraie dignité dans le cadre des
supériorités propres à leur sexe. »
« Nous
sommes porteurs d'une responsabilité aussi exaltante qu'écrasante :
conscients des valeurs de notre race qu'elle est seule à pouvoir
véhiculer, valeurs perdues de vue
justement
à l'heure historique où leur race porteuse atteint le point
culminant de sa puissance matérielle, notre rôle serait de faire le
pont entre la grandeur spirituelle du point de départ et la grandeur
scientifique du point d'arrivée. Du point de vue du destin
planétaire, l'enjeu est total : si nous échouons, environ cinquante
mille ans d'histoire aryenne aboutiront à l'enlisement et à la
régression de l'espèce humaine dans le meilleur des cas, à la
désertification ou l'atomisation d'une planète dans le pire. »
« Une
fois baptisé ( le baptême est un sacrement « païen » dont on ne
trouve nulle trace dans l'Ancien Testament et les religions
orientales ), l'enfant était adopté par la
tribu
et sous la protection de celle-ci. Certes, avant le baptême, des
enfants mal constitués ou inopportuns pouvaient être exposés, (
c'est-à-dire suspendus à un tronc d'arbre à proximité du village
). Ce mode d'élimination par la famille avait pour but de permettre
à des étrangers d'adopter l'enfant abandonné. Faute d'adoption,
l'enfant était bien voué à la mort, mais on lui attachait une
lanière de lard dans la bouche afin de lui assurer une mort indolore
et sans angoisse grâce à la sensation de téter. »
« En
dévoilant les ressorts insoupçonnés des différences, des
fanatismes et tabous qui en résultent, nous voudrions ouvrir la voie
à des synthèses culturelles cohérentes pour l'avenir, alors que
tout le baratin fraternitaire, tout « l'enrichissement réciproque
des cultures » dont nous abreuvent les carpettes des appareils
médiatiques au service du plus perfide racisme, de la plus
paranoïaque des religions, ne peuvent aboutir qu'à des compromis
instables sur fond de nihilisme et de fanatisme. N'oublions pas, en
effet, que le fanatisme est un refuge contre le nihilisme, un refuge
certes précaire et que tout regard subtil démasque vite comme le
commencement de la fin. »
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