Avant de vous
laisser lire ce qui va suivre, je vais vous informer de qui est ce
monsieur.
Dans la
présentation Wikipedia, il est annoncé comme un militant
communiste, puis anarchiste, puis national-socialiste et est devenu
ensuite le défenseur de le nationalisme européen. Il est aussi
racialiste.
Qu'est ce qu'on
peut dire de cet homme ? Cet individu a suivi le même parcours
idéologique que Hitler et Mussolini. Mais, il n'y a pas eu que ceux
là, il y eut Marcel Déat, Robert Faurisson, Roger Garaudy...Il est
parti de la gauche pour rejoindre l’extrême droite. Nous pouvons
nous interroger sur ce qui entraîne ces gens à complètement renier
leurs idées. Je ne vois pour l'instant qu'une possible explication :
il est plus aisé d'être d'extrême droite lorsque l'on est
antisémite. Ça ne fait pas tellement de gauche d'être antisémite.
Donc la haine des juifs étant plus forte que la bonne conscience ou
la renommée, ils penchent pour l'extrême droite.
Pourquoi je
publie ce que pense ces gens là ? Nous pouvons trouver
rassurant de ne lire que ceux avec qui on est en accord. C'est
confortable et on se réconforte dans nos propres convictions. Mais
pour affronter l'ennemi, il faut comprendre le fonctionnement, les
mécanismes de pensée pour analyser, et combattre leurs idées
auprès des personnes qui sont leurs cibles. Ce que je fais de temps
en temps, car il faut quand même avoué que lire ces horreurs c'est
un peu dur, pénible et parfois même insupportable.
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« Les
20 à 30% d'illettrés de nos états modernes, les
frais exorbitants de l'aide aux infirmes, les allocations familiales
et aides multiples accordées aux lapineurs irresponsables, les
prisons trois étoiles, le viol public avec des témoins qui
détournent la tête, la condamnation des agressés qui osent se
défendre contre des voleurs ne sont que l'aboutissement logique et
inévitable de deux millénaires de haineuse sélection à rebours
dont la doctrine fondamentale fut et reste le christianisme, le
marxisme n'étant que la réplique athée de ce dernier. »
« Je
n'entreprends pas ici une propagande néo-nazie. J'ai déjà écrit
plusieurs fois ce que je répète ici avec insistance : l'hitlérisme,
par son centralisme et son principe d'autorité du haut vers le bas,
relevait d'une conception judéo-romaine de l'État et ne peut
trouver de justification que comme tentative désespérée de
redresser une
situation
de décadence mortelle pour l'Europe. Il était fort loin d'incarner
l'idéal socio-politique aryen. Les dirigeants hitlériens étaient
dangereusement immatures sur le plan philosophique ; la plupart
d'entre eux avaient des conceptions religieuses extrêmement vagues,
ce qui explique le fait que Göring, Goebbels et Hitler notamment
n'allèrent jamais jusqu'à se retirer de leurs Églises et payèrent
sagement l'impôt ecclésiastique jusqu'à leur mort. Leur maturité
politique était elle aussi entachée de graves lacunes ; ils
n'étaient pas capables d'affronter les grands leaders marxistes, ce
qui fut sans doute la raison de leur refus du débat doctrinal avec
le gouvernement soviétique. Dans son livre Combat pour Berlin,
Goebbels fait un aveu stupéfiant, « Nous aimions les ouvriers ;
nous voulions aller à eux, mais nous ne savions pas quoi leur dire.
». Nietzsche était peu prisé des intellectuels hitlériens ;
l'étude qu'en fait Alfred Rosenberg dans le Mythe du XXè siècle
montre qu'il l'avait aussi peu compris que ne l'avaient fait avant
lui Oswald Spengler et H.S. Chamberlain.
J'entends
déjà la foule des fanatiques goguenards me crier : « Vous êtes
mal placé pour critiquer l'hitlérisme après avoir été
volontaire dans les Waffen SS. ». Mes réponses seront simples. A la
différence de ceux qui ne savent que rabâcher les inepties des
haines millénaires et de la manipulation médiatique mondialement
orchestrée, je sais aujourd'hui de quoi je parle, ayant connu le
mouvement hitlérien de l'intérieur et m'étant donné la peine d'en
étudier toute la littérature théorique. Si j'ai, à 20 ans, opté
pour le combat du côté allemand, c'est parce que j'avais déjà
perçu dans le camp opposé trop de haines viles, de mensonges,
d'hypocrisies chrétiennes et bourgeoises, de calomnies. Mais j'ai
toujours déploré la guerre avec la Russie, si étrange que cela
puisse paraître, et j'étais loin d'être le seul dans ce cas parmi
ceux qui portaient l'uniforme feldgrau. Comme la plupart des
volontaires français, je me suis rallié à un type humain plutôt
qu'à une idéologie. Pour tous ceux qui souffraient profondément de
la veulerie de leur siècle, de son nihilisme, de sa niaiserie, le
guerrier allemand avec son regard droit, sa démarche ferme et
tranquille, son calme, son amabilité sans bavardage fut ressenti
comme un refuge, comme un espoir. Je ne fus nullement étonné de
découvrir un jour la vieille devise : « Am deutschen Wesen wird die
Welt genesen. » ( Le monde guérira par la personnalité allemande
).
Les
lois scélérates haineuses, mensongères et fanatiques qui suivirent
la défaite, la volonté de salir le vaincu qui fit déclarer la SS «
association de malfaiteurs », tous ces coups de pied de l'âne au
lion mort ne me causèrent pas le moindre trouble de conscience.
J'avais prévu ce déchaînement de bassesse dans la meilleure ligne
de l'Inquisition et de la persécution des « nuques roides ». La
chose m'était d'autant plus évidente que les Églises chrétiennes
ne marchandaient pas leur complicité envers les pires affabulations
et distorsions de l'histoire contemporaine. »
« La
survie de cette élite ne peut résulter que d'une conscience
vigoureuse et affinée de ses spécificités, de
l'omniprésence de dangers mortels et de la volonté inébranlable de
transmettre clandestinement, peut-être pendant des siècles, les
qualités de la nouvelle noblesse aryenne tout en fortifiant ses
rangs. Créer de suite la culture et les structures de l'avenir,
telle est notre tâche qui exige un total désengagement politique.
Si l'humanité n'est pas vouée à la destruction totale, la
pourriture et le chaos nous livreront immanquablement l'avenir. »
« De
nombreux jeunes amis font la moue lorsque j'égratigne leur
enthousiasme pour le IIIe Reich et leur conseille le
total désengagement politique. Je ne prétends pas que tout est à
rejeter dans l'épisode hitlérien. En créant un Ordre élitiste, en
plaçant la race
avant
la nationalité, la SS fut la première grande tentative pour secouer
le joug de l'encanaillement mortel ( mais oui, je sais : cette phrase
tombe sous le coup d'une loi scélérate, mais je n'en suis pas à
une phrase près et vous en trouverez d'autres ). En posant le sang
comme facteur déterminant des cultures, elle s'opposait au
mondialisme naissant qui menace de destruction par métissage non
seulement la race blanche, mais toutes les races de la planète. En
jetant les bases d'une société sans banques et sans administration,
en pratiquant le prêt sans intérêt aux jeunes agriculteurs et
artisans, elle portait la hache contre la société capitaliste dont
les systèmes d'exploitation sont fondés sur le prêt à intérêts
et les complications aussi inutiles qu'impénétrables. En basant la
valeur de leur devise sur la productivité de la nation, les
gouvernants du IIIe Reich
ébranlèrent
l'étalon or, ce qui fit alors hurler le monde entier, mais n'empêcha
nullement les USA de recourir exactement à la même notion de valeur
pour imposer abusivement le dollar comme étalon international. En
instaurant un système de troc géré par l'État ( machines contre
céréales ) avec les pays danubiens, ils dérangeaient de fructueux
trafics de devises qui, avec les gangs de l'agroalimentaire, ont
atteint depuis l'importance d'un cancer économique mondial. Telles
furent les vraies raisons de la guerre qui mit fin à deux
millénaires de prépondérance européenne. La crapulocratie
capitaliste mondiale ne s'y est pas trompée : entre le bolchevisme
instauré avec l'aide de puissantes banques judéoaméricaines et le
national-socialisme, elle n'a pas hésité et choisit l'alliance
bolchevique. Si les travailleurs ne s'étaient pas laissés réduire
à la condition de perroquets des média, ce simple fait leur
donnerait à réfléchir. »
«Non
seulement le parti national-socialiste fut interdit,
mais les valeurs biologiques et
culturelles
communes à tous les peuples du monde, traînées dans la boue, les
parents calomniés et ridiculisés aux yeux des enfants, la recherche
historique objective interdite. Une disposition de la constitution «
démocratique » de la RFA prévoit que les abstentions et bulletins
nuls seront comptabilisés au bénéfice du parti majoritaire. Ainsi
retira-t-on aux Allemands les plus conscients même la possibilité
de s'exprimer par le silence. La montée de l'abstentionnisme
pourrait bien nous valoir prochainement la même situation en France.
L'erreur
fondamentale d'Hitler fut perçue et précisée par mon ami
Saint-Loup dans son ouvrage Plus de pardons pour les Bretons : Hitler
fut un homme contre le temps au lieu de situer son action hors du
temps. »
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