samedi 22 décembre 2018

Les Catacombes de la libre pensée Par Robert Dun




Avant de vous laisser lire ce qui va suivre, je vais vous informer de qui est ce monsieur.
Dans la présentation Wikipedia, il est annoncé comme un militant communiste, puis anarchiste, puis national-socialiste et est devenu ensuite le défenseur de le nationalisme européen. Il est aussi racialiste.

Qu'est ce qu'on peut dire de cet homme ? Cet individu a suivi le même parcours idéologique que Hitler et Mussolini. Mais, il n'y a pas eu que ceux là, il y eut Marcel Déat, Robert Faurisson, Roger Garaudy...Il est parti de la gauche pour rejoindre l’extrême droite. Nous pouvons nous interroger sur ce qui entraîne ces gens à complètement renier leurs idées. Je ne vois pour l'instant qu'une possible explication : il est plus aisé d'être d'extrême droite lorsque l'on est antisémite. Ça ne fait pas tellement de gauche d'être antisémite. Donc la haine des juifs étant plus forte que la bonne conscience ou la renommée, ils penchent pour l'extrême droite.
Pourquoi je publie ce que pense ces gens là ? Nous pouvons trouver rassurant de ne lire que ceux avec qui on est en accord. C'est confortable et on se réconforte dans nos propres convictions. Mais pour affronter l'ennemi, il faut comprendre le fonctionnement, les mécanismes de pensée pour analyser, et combattre leurs idées auprès des personnes qui sont leurs cibles. Ce que je fais de temps en temps, car il faut quand même avoué que lire ces horreurs c'est un peu dur, pénible et parfois même insupportable.

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« Les 20 à 30% d'illettrés de nos états modernes, les frais exorbitants de l'aide aux infirmes, les allocations familiales et aides multiples accordées aux lapineurs irresponsables, les prisons trois étoiles, le viol public avec des témoins qui détournent la tête, la condamnation des agressés qui osent se défendre contre des voleurs ne sont que l'aboutissement logique et inévitable de deux millénaires de haineuse sélection à rebours dont la doctrine fondamentale fut et reste le christianisme, le marxisme n'étant que la réplique athée de ce dernier. »

« Je n'entreprends pas ici une propagande néo-nazie. J'ai déjà écrit plusieurs fois ce que je répète ici avec insistance : l'hitlérisme, par son centralisme et son principe d'autorité du haut vers le bas, relevait d'une conception judéo-romaine de l'État et ne peut trouver de justification que comme tentative désespérée de redresser une situation de décadence mortelle pour l'Europe. Il était fort loin d'incarner l'idéal socio-politique aryen. Les dirigeants hitlériens étaient dangereusement immatures sur le plan philosophique ; la plupart d'entre eux avaient des conceptions religieuses extrêmement vagues, ce qui explique le fait que Göring, Goebbels et Hitler notamment n'allèrent jamais jusqu'à se retirer de leurs Églises et payèrent sagement l'impôt ecclésiastique jusqu'à leur mort. Leur maturité politique était elle aussi entachée de graves lacunes ; ils n'étaient pas capables d'affronter les grands leaders marxistes, ce qui fut sans doute la raison de leur refus du débat doctrinal avec le gouvernement soviétique. Dans son livre Combat pour Berlin, Goebbels fait un aveu stupéfiant, « Nous aimions les ouvriers ; nous voulions aller à eux, mais nous ne savions pas quoi leur dire. ». Nietzsche était peu prisé des intellectuels hitlériens ; l'étude qu'en fait Alfred Rosenberg dans le Mythe du XXè siècle montre qu'il l'avait aussi peu compris que ne l'avaient fait avant lui Oswald Spengler et H.S. Chamberlain.
J'entends déjà la foule des fanatiques goguenards me crier : « Vous êtes mal placé pour critiquer l'hitlérisme après avoir été volontaire dans les Waffen SS. ». Mes réponses seront simples. A la différence de ceux qui ne savent que rabâcher les inepties des haines millénaires et de la manipulation médiatique mondialement orchestrée, je sais aujourd'hui de quoi je parle, ayant connu le mouvement hitlérien de l'intérieur et m'étant donné la peine d'en étudier toute la littérature théorique. Si j'ai, à 20 ans, opté pour le combat du côté allemand, c'est parce que j'avais déjà perçu dans le camp opposé trop de haines viles, de mensonges, d'hypocrisies chrétiennes et bourgeoises, de calomnies. Mais j'ai toujours déploré la guerre avec la Russie, si étrange que cela puisse paraître, et j'étais loin d'être le seul dans ce cas parmi ceux qui portaient l'uniforme feldgrau. Comme la plupart des volontaires français, je me suis rallié à un type humain plutôt qu'à une idéologie. Pour tous ceux qui souffraient profondément de la veulerie de leur siècle, de son nihilisme, de sa niaiserie, le guerrier allemand avec son regard droit, sa démarche ferme et tranquille, son calme, son amabilité sans bavardage fut ressenti comme un refuge, comme un espoir. Je ne fus nullement étonné de découvrir un jour la vieille devise : « Am deutschen Wesen wird die Welt genesen. » ( Le monde guérira par la personnalité allemande ). Les lois scélérates haineuses, mensongères et fanatiques qui suivirent la défaite, la volonté de salir le vaincu qui fit déclarer la SS « association de malfaiteurs », tous ces coups de pied de l'âne au lion mort ne me causèrent pas le moindre trouble de conscience. J'avais prévu ce déchaînement de bassesse dans la meilleure ligne de l'Inquisition et de la persécution des « nuques roides ». La chose m'était d'autant plus évidente que les Églises chrétiennes ne marchandaient pas leur complicité envers les pires affabulations et distorsions de l'histoire contemporaine. »

« La survie de cette élite ne peut résulter que d'une conscience vigoureuse et affinée de ses spécificités, de l'omniprésence de dangers mortels et de la volonté inébranlable de transmettre clandestinement, peut-être pendant des siècles, les qualités de la nouvelle noblesse aryenne tout en fortifiant ses rangs. Créer de suite la culture et les structures de l'avenir, telle est notre tâche qui exige un total désengagement politique. Si l'humanité n'est pas vouée à la destruction totale, la pourriture et le chaos nous livreront immanquablement l'avenir. »

« De nombreux jeunes amis font la moue lorsque j'égratigne leur enthousiasme pour le IIIe Reich et leur conseille le total désengagement politique. Je ne prétends pas que tout est à rejeter dans l'épisode hitlérien. En créant un Ordre élitiste, en plaçant la race
avant la nationalité, la SS fut la première grande tentative pour secouer le joug de l'encanaillement mortel ( mais oui, je sais : cette phrase tombe sous le coup d'une loi scélérate, mais je n'en suis pas à une phrase près et vous en trouverez d'autres ). En posant le sang comme facteur déterminant des cultures, elle s'opposait au mondialisme naissant qui menace de destruction par métissage non seulement la race blanche, mais toutes les races de la planète. En jetant les bases d'une société sans banques et sans administration, en pratiquant le prêt sans intérêt aux jeunes agriculteurs et artisans, elle portait la hache contre la société capitaliste dont les systèmes d'exploitation sont fondés sur le prêt à intérêts et les complications aussi inutiles qu'impénétrables. En basant la valeur de leur devise sur la productivité de la nation, les gouvernants du IIIe Reich ébranlèrent l'étalon or, ce qui fit alors hurler le monde entier, mais n'empêcha nullement les USA de recourir exactement à la même notion de valeur pour imposer abusivement le dollar comme étalon international. En instaurant un système de troc géré par l'État ( machines contre céréales ) avec les pays danubiens, ils dérangeaient de fructueux trafics de devises qui, avec les gangs de l'agroalimentaire, ont atteint depuis l'importance d'un cancer économique mondial. Telles furent les vraies raisons de la guerre qui mit fin à deux millénaires de prépondérance européenne. La crapulocratie capitaliste mondiale ne s'y est pas trompée : entre le bolchevisme instauré avec l'aide de puissantes banques judéoaméricaines et le national-socialisme, elle n'a pas hésité et choisit l'alliance bolchevique. Si les travailleurs ne s'étaient pas laissés réduire à la condition de perroquets des média, ce simple fait leur donnerait à réfléchir. »

«Non seulement le parti national-socialiste fut interdit, mais les valeurs biologiques et
culturelles communes à tous les peuples du monde, traînées dans la boue, les parents calomniés et ridiculisés aux yeux des enfants, la recherche historique objective interdite. Une disposition de la constitution « démocratique » de la RFA prévoit que les abstentions et bulletins nuls seront comptabilisés au bénéfice du parti majoritaire. Ainsi retira-t-on aux Allemands les plus conscients même la possibilité de s'exprimer par le silence. La montée de l'abstentionnisme pourrait bien nous valoir prochainement la même situation en France. L'erreur fondamentale d'Hitler fut perçue et précisée par mon ami Saint-Loup dans son ouvrage Plus de pardons pour les Bretons : Hitler fut un homme contre le temps au lieu de situer son action hors du temps. »

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