dimanche 29 août 2021

Libres propos Tome 1 par Adolph Hitler

 "De tous les slaves, le Tchèque est le plus dangereux, parce qu'il est travailleur. Il a le sens de la discipline, il a de l'ordre, il est plus mongol que slave. Sous le couvert d'une certaine loyauté, il s'entend à cacher ses plans. Maintenant, ils travailleront car ils savent que nous sommes impitoyables et brutaux. Je ne les méprise pas, je ne leur en veux pas. C'est le destin qui veut que nous soyons adversaires. En somme? Les Tchèques constituent un corps étranger au sein de la communauté allemande. Il n'y a pas de place pour eux et pour nous. L'un de nous doit céder.

En ce qui concerne le Polonais, c'est une chance pour nous qu'il soit paresseux, bête et vaniteux. L'état Tchèque, et cela est dû à la formation qu'ont eue les Tchèques, était d'une propreté exemplaire. La corruption n'existait pratiquement pas chez eux. Les fonctionnaires Tchèques sont généralement animés par le sentiment de l'honneur. C'est pourquoi un Hacha est plus dangereux qu'une crapule journalistique. C'est un homme intègre, qui ne s'enrichira pas d'une couronne dans l'exercice de ses fonctions. Les hommes accessibles à la corruption sont moins dangereux. Ce sont là des choses que le deuxième Reich n' jamais comprises. La façon de se comporter à l'égard des Polonais fut un échec lamentable. On n'a réussi qu'à raffermir leur sentiment patriotique. Nos compatriotes des régions frontières, qui sauraient comment s'y prendre azvec les peuples voisins, sont brimés par les bons allemands de l'intérieur - qui se figurent, eux, que c'est par la bonté que seront gagnés à l'Allemagne ces cœurs étrangers. Tout allait bien à l'époque de Marie-Thérèse, et l'on peut dire que, dans les années 1840, il n'était pas question d'un patriotisme polonais. Avec l'avènement de la bourgeoisie au pouvoir, le terrain conquis fut à nouveau perdu.

Le Tsar Ferdinand de Bulgarie m'a dit un jour : " Savez-vous quel est l'homme le plus dangereux? C'est Bénès. Titulesco est vénal, mais Bénès, je ne crois pas." Ferdinand était vraiment très fort."


"Il faut agir radicalement. Quand on arrache une dent, on l'arrache d'un coup, et la douleur ne tarde pas à disparaitre. Le juif doit décamper d'Europe. Sinon, aucune entente ne sera possible entre européens. C'est le juif qui empêche tout. Quand j'y réfléchis, je m'aperçois que je suis extraordinairement humain. Du temps de la domination des papes, les juifs étaient maltraités à Rome. Jusqu'en 1830, l'on promenait une fois par an dans les rues de Rome huit juifs montés sur des ânes. Moi, je me borne à leur dire qu'ils doivent s'en aller. S'ils cassent leur pipe en route, je n'y puis rien. Mais s'ils refusent de partir volontairement, je ne vois pas d'autre solution que l'extermination."


"Il me semble que ces questions pourront être résolues le jour où un homme établira intuitivement le rapport qui existe entre ces faits, montrant ainsi à la science exacte la voie à suivre. Sinon, nous ne soulèverons jamais le voile qui s'est interposé entre notre monde actuel et celui qui nous a précédé."


"J'ai horreur des femmes qui se mêlent de politique. Et si cela s'étend aux choses militaires, cela devient tout à fait insupportable.

Dans aucune section locale du Parti une femme n'a jamais eu le droit d'occuper fut-ce le plus petit poste. Aussi a-t-on dit souvent que nous étions un parti de misogynes, que nous ne voyions dans la femme qu'une machine à faire des enfants, ou bien un objet de luxe. C'est loin d'être le cas. J'ai donné beaucoup d'importance à la femme dans le domaine de la formation de la jeunesse et dans celui des œuvres d'assistance. C'est en 1924 que surgirent chez nous les femmes attirées par la politique: Mme Von Treuenfels, et Mathilde von Kemnitz. Elles voulaient faire partie du Reichstag, afin d'élever, disaient-elles, le niveau moral de cette institution. Je leur ai répondu que 99% des questions traitées par le parlement étaient affaires d'hommes à propos desquelles elles ne pouvaient avoir une opinion valable. Elles s'insurgèrent contre ce point de vue mais je leur clouai le bec en disant :" Vous n'allez pas prétendre que vous connaissez les hommes comme moi je connais les femmes". Un homme qui vocifère, ce n'est pas beau. Mais que ce soit une femme, c'est terriblement choquant. Plus elle s'époumone, et plus sa voix devient stridente. La voilà prête à se crêper le chignon, toutes griffes dehors. La galanterie, en somme, commande d'éviter aux femmes l'occasion de se mettre dans des situations qui ne leur conviennent pas. Tout ce qui est lutte est exclusivement du ressort de l'homme. Il y a tant d'autres domaines où le recours à la femme s'impose. Par exemple, pour organiser une maison. Peu d'hommes ont le talent de Mme Troost en ce qui concerne la décoration intérieure d'une maison. Il y eut quatre femmes auxquelles je fis jouer un rôle de vedette: Mme Troost, Mme Wagner, Mme Scholtz-Klink et Leni Riefenstahl." 


"Si l'humanité se donnait la peine d'étudier et de comprendre l'histoire, il en résulterait des conséquences d'une portée incalculable. On chantera un jour des actions de grâces au fascisme et au national-socialisme pour avoir préservé l'Europe d'une répétition du triomphe de la pègre."


"Si Chamberlain, à son retour de Munich, avait fait des élections sur le choix entre la guerre et la paix, il aurait obtenu une écrasante majorité en faveur de la paix. Quand je pris possession de Memel, Chamberlain me fit savoir par un tiers qu'il comprenait fort bien que ce règlement devait se faire, encore qu'il ne pût l'approuver publiquement. A cette époque,, Chamberlain était férocement attaqué par le clan Churchill. S'il avait eu la présence d'esprit d'organiser des élections, il était sauvé. Dans des cas semblables, je me suis toujours arrangé en vue d'être plébiscité. Cela produit un excellent effet, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur."


Aucun commentaire: