Cette putain d'habitude de merde de toujours viser plus faibles, plus démunis.
Juger sans comprendre au-delà de ses propres impatiences, de ses propres besoins, faire une abstraction volontaire de la réalité de la misère, ressentir de la déception parce que nous aimerions changer cette société et que ceux qui devraient lutter ne sont pas là.
Attaquons ceux qui se gavent sans scrupules sur toutes nos misères, les nôtres.
Comme dit Lavilliers: "Remarquez, voir des plus pauvres que soi, ça rassure./ Alors, dans le Sertao, tout le monde peut venir/ Ici, il n'y a rien." Sertao sur l'album "O' Gringo"
Essayez de penser à autre chose quand il vous faut courir après la bouffe, après la couche, et les gosses, et les dettes. Se laver, se soigner, on rogne sur le futile pour aller a l' essentiel. Essayez d'aimer le beau, d'être prêt à la curiosité.
Pendant ce temps, a l ombre des mesquines réflexions des "privilégiés", on trouve les Pinault, les Arnaud, qui multiplient leurs bénéfices sur les pauvres, sans scrupules, exploitant les enfants de la misère, sur la classe moyenne sans subir aucun reproche, aucune réflexion, en souriant parce qu'on tape toujours sur les mêmes. Une exploitation exonérée.
Alors continuons à taper sur les mêmes, et soyons heureux que rien ne change.
Vive Macron, Vive Pinault, Vive Arnault
Et a mort les gueux, les pauvres et tous ceux qui les soutiennent.
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