mercredi 17 avril 2019

L'anneau d'or cahiers de spiritualité conjugale et familiale




un dieu méconnu

« Ce sont ensuite les athéismes militants, les athéismes idéologiques, qui se rattachent à Marx, Freud, à Nietzsche, pour parler des grands initiateurs. Courants idéologiques dont je vous ai dit qu'il faut les affronter sans complexe. Ils sont fondés sur une radicale méconnaissance de la vérité. »

« La première raison d'une crise du sens de Dieu et de l'adoration, dans le christianisme contemporain, c'est al'accent mis trop exclusivement sur la rencontre avec le prochain, sur la relation de l'autre, et parallèlement la dépréciation de la rencontre avec Dieu, de la dimension de la prière et de l'adoration. »

A l'exemple du Christ :

On en vient à nous présenter un Christ qui serait simplement une sorte de bon exemple de l'amour du prochain, un Christ qui ne serait plus qu'un professeur de je ne sais quelle morale humaniste ! »

La crise du sacerdose :

« Vous avez besoin des prêtres. Vous sentez bien à quel point un monde sans prêtres serait un monde vidé de substance essentielle, et c'est pourquoi il vous faut rendre confiance aux prêtres, quand à la nécessité de leur vocation...Car le prêtre est un élément constitutif d'une humanité complète et intégrale. »

Vie religieuse et vie collective :

« Mais cela ne signifie aucunement que la vie religieuse, sous ses différentes formes d'ailleurs, ne doive pas être présente au sein même de la société. »

« Le crusifix sur le mur de la chambre, la prière récitée en commun, tout ce qui manifeste que Dieu n'est pas simplement une réalité de la vie individuelle, mais une réalité de la famille comme telle, doit absolument être maintenu dans un foyer chrétien. »

La dimension cosmique de notre christianisme :

« A une époque où les hommes découvrent les dimensions du cosmos, où les jeunes sont remplis d'admiration, et ils ont raison de l'être, devant les extraordinaires prouesses de la science conteporaine, il est essentiel que notre christianisme ait une dimension cosmique, c'est à dire que nous comprenions qu'il est une interprétation totale du réel...Notre christianisme est et doit être cette interprétation totale des choses, que la science est impuissante à donner, et que très souvent les savants eux-mêmes attendent que nous leur apportions...Car il vient un moment où leurs spéculations s(arrêtent, où ils ont besoin de savoir quel est le dernier sens de ce monde dont ils ne peuvent dégager finalement, eux, que les lois et le fonctionnement. »

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