«
C’est ainsi qu’on agit dans ce pays. On retranche à cent pauvres
familles des rentes viagères qui les faisaient subsister, acquises
avec des effets dont le roi était débiteur et dont le fonds est
éteint ; on donne 56 000 livres de pension à des gens qui ont été
dans de grands postes où ils ont amassé des biens considérables,
toujours aux dépens du peuple, et cela pour se
reposer et ne rien faire. Peut-on rien de moins sensé? »
«
Qui pourrait-on choisir de mieux dans ce pays-ci pour ministres que
des fripons? »
«
Il faut éviter de laisser le peuple se déranger, on a trop de peine
à le réduire... Rien n’est plus à redouter que le tumulte du
peuple de Paris, surtout quand il y a un parti formé. On ne saurait
acheter trop cher la tranquillité publique.»
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