Chaque
jour apporte à notre malheureuse agriculture de nouvelles marques de
la sympathie des nations étrangères. En voici encore un exemple
touchant. Les ouvriers et contre-maîtres de la fabrique de machines
de la Société autrichienne I.- R.-P. des chemins de fer de l’Etat,
à Vienne, ont fait entre eux une collecte dont le produit s’est
élevé à 1 020 fr. pour les cultivateurs victimes de la guerre.
Cette somme vient d’être versée par l’ingénieur secrétaire du
comité de Paris, M. A. Ronna, au bureau de la Société des
agriculteurs de France, où l’on sait qu’une souscription
permanente est ouverte en faveur des populations rurales si
terriblement éprouvées.
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