"Je ne sais pas à quel moment de la soirée le nom de Gramsci m’a manqué. J’en éprouve toujours la même blessure – une blessure qui déchire mon souffle. C’est la première fois que je la désigne de cette façon. La désigner ainsi est pourtant absurde : comment pourrait-on blesser le souffle ? Autant vouloir faire un trou en l’air. Mais plus je caractérise cette absurdité, plus elle résiste à la critique."
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