Nous en sommes arrivés à mi-chemin de la série "De la domination" avec ce troisième numéro qui s'intitule (de quoi agacé les plus pretentieux) :
"Portrait de l'intellectuel en animal de compagnie".
Michel Surya a reconnu lui-même que c'est cet ouvrage qui a cristallisé le plus de rancœur ou de haine à son égard. Évidemment, ces gens qui se prétendent libres et indépendants n'ont pas admis qu'on les mette à jour.
La seule "transparence" acceptable est celle que la "domination", et elle seule, met en place en sélectionnant ce qui doit s'y soumettre.
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