"La jeune fille des éditeurs.
La jeune fille des rédacteurs en chef.
La jeune fille épouvantail, monstre, assassin de l art.
La jeune fille, ce qu elle est en réalité.
Une petite sotte et une petite salope; la plus grande imbécillité uni a la plus grande dépravation.
Il y a dans la jeune fille toute l'abjection du voyou et du collégien."
"Avis aux non-communistes;
Tout est commun, même dieu."
"Le français et un animal de basse-cour, si bien domestiquer qu'il n'ose franchir aucune palissade. Voir ses goûts en littérature et en art.
C'est un animal de race latine ; l'ordure ne lui déplaît pas dans son domicile, et en littérature, il est scatophage. Il raffole des excréments. Les littérateurs d'estaminet appelle cela le sel Gaulois. »
« gout invincible de la prostitution dans le cœur de l'homme, d ou naît son horreur de la solitude. Il veut être deux. L'homme de génie veux être un , donc solitaire
La gloire, c'est rester un, et se prostituer d'une manière particulière.
C'est cette horreur de la solitude, le besoin d'oublier son moi dans la chair extérieur, que l homme appelle noblement besoin d'aimer. »
"Du cocuage et des cocus.
La douleur du cocu.
Elle n'est de son orgueil, d un raisonnement faux sur l'honneur et sur le bonheur, et d un amour niaisement détourner de dieu pour être attribué aux créatures.
C'est toujours l'animal adorateur se trompant d'idole."
« plus l'homme cultive les arts, moins il bande.
Il se fait un divorce de plus en plus sensible entre l'esprit et la brute.
La brute seul bande bien, et la foutrerie et le lyrisme du peuple. »
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