"Quelques instants passent.
La rafale. Toujours la même chose, les coups en vrac, comme un tOPlbereau qu'on renverse, puis des coups isolés. Sonorité terrible. Ça entre dans le dos, ça pousse en avant. Silence du bois. Ce n'est pas le bruit de la chasse, ni le bruit de la guerre. C'est un bruit de frayeur solitaire, de terreur nocturne, diabolique. Le dernier coup isolé est pour un œil qui brille encore."
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